Quel est le sommet de la vie ?
Peut-être c’est le moment où l’on devient son propre soutien, où l’on vit de façon authentique et élégante, sans avoir à se plier aux attentes des autres. Si une vie conforme aux règles et soumise au courant n’a pas apporté le bonheur escompté, mais a plutôt rendu ces années de jeunesse, censées être pleines de vitalité, fades et insignifiantes, alors pourquoi ne pas être soi-même, se soutenir et se libérer ? Marcher seul, s’asseoir seul, chanter seul, souffrir seul. Je n’ai pas besoin de me perdre pour satisfaire les autres, et je n’ai pas à offenser quelqu’un pour rester fidèle à moi-même.
Je pense à Nietzsche, qui disait que les grands philosophes vivent dans la solitude, non pas par choix, mais parce qu’ils ne trouvent pas d’égal autour d’eux. Je partage pleinement ce sentiment. La solitude physique lorsque personne n’est là, et la liberté de l’esprit quand le monde est en effervescence autour de soi.
Enfin, je dirais que la plus grande transformation dans la vie est de réaliser que la solitude est quelque chose de précieux, et que ceux qui vivent seuls sont destinés à accomplir des choses uniques. C’est une forme de noblesse. Que chacun lève un verre de vin fort en l’honneur de l’éternité, plus ardent que le feu, plus libre que le vent.
Option de cuisson :
Si vous préférez cuire les gombos et les champignons Enoki, ajoutez du sel à l’eau bouillante et faites-les cuire environ 1 minute. Ensuite, plongez-les dans de l’eau froide pour les refroidir, égouttez bien et ajoutez les assaisonnements.